Apostasie en Europe : libres en droit, menacés dans les quartiers islamisés
En Europe, quitter l’islam est légal. Mais dans les quartiers islamisés, un apostat risque sa vie. Avec le soutien tacite de l’islamo-gauchisme, du PTB à LFI, la liberté de conscience devient un droit théorique, mais impraticable.

Devenir musulman ne demande que quelques secondes : prononcer la chahada, profession de foi islamique :
أشهد أن لا إله إلا الله وأشهد أن محمدا رسول الله
Ach hadou an lâ ilâha illâ Allâh, wa ach hadou anna Mouhammadan rasûl Allâh.
Traduction : J’atteste qu’il n’y a pas de divinité en dehors d’Allah, et j’atteste que Mohammed est son messager.
En récitant cette phrase, vous devenez musulman. Même si vous n’y croyez pas, même si vous le faites par convenance. Mais si vous quittez ensuite l’islam, vous devenez un apostat (mourtadd). Et là commence le problème.
En Europe : le droit vous protège
Officiellement, la situation est claire :
- En Belgique, en France, en Allemagne, au Royaume-Uni… l’apostasie n’est pas un crime.
- La loi vous garantit la liberté religieuse totale : vous pouvez entrer, sortir ou critiquer n’importe quelle religion.
- Aucun risque légal, aucune sanction de l’État.
Sur le papier, l’Europe est donc un espace de liberté.
Dans l’islam : le crime suprême
La théologie islamique traditionnelle, elle, ne pardonne pas.
- Quitter l’islam = apostasie (ridda).
- Pour les écoles juridiques les plus strictes : la peine de mort.
- Même quand la loi nationale ne l’applique pas, la pression sociale peut être écrasante : rejet, menaces, violences.
La réalité européenne : Molenbeek et ailleurs
Et c’est là que le fossé se creuse :
- À Bruxelles (Molenbeek), à Paris (Seine-Saint-Denis), à Marseille, à Berlin ou Birmingham, les quartiers islamisés appliquent leur propre loi de la rue.
- Dans ces environnements, être apostat, c’est signer votre arrêt social, voire physique.
- En clair : la loi belge ou française vous protège… mais pas votre voisin radicalisé.
Pays musulmans vs Europe islamisée
- Maroc, Algérie, Tunisie : pas de loi directe contre l’apostasie, mais rejet social massif.
- Égypte : complications administratives, tracasseries.
- Arabie Saoudite, Iran, Afghanistan : l’apostat est un condamné à mort.
- Europe : la loi vous protège… mais certains quartiers importent la charia officieuse.
Un apostat n’est pas condamné par le juge, mais par la communauté.
Le risque islamo-gauchiste
Ajoutons à cela l’islamo-gauchisme :
- Ces courants politiques assimilent toute critique de l’islam à de « l’islamophobie ».
- Résultat : l’apostat devient doublement isolé : rejeté par les islamistes, abandonné par la gauche complaisante.
- Le PTB en Belgique ou LFI en France en sont les exemples flagrants : ils préfèrent flatter un électorat musulman radicalisé plutôt que défendre la liberté de conscience.
- Demain, si ces idéologies prenaient le pouvoir, la liberté de conscience existerait encore « en théorie », mais impossible de la revendiquer sans vous faire museler ou criminaliser.
Verdict brutal
- Sur le papier : en Europe, vous êtes libre de quitter l’islam.
- Dans la réalité : dans Molenbeek ou d’autres quartiers islamisés, afficher votre apostasie peut vous coûter la vie.
- Dans le monde musulman : vous êtes officiellement un criminel, parfois condamné à mort.
Résumé : en Europe, vous êtes libre tant que vous vous taisez. Mais si vous parlez, vous découvrez vite que certaines zones vivent déjà sous la charia officieuse.

Le 23 août 2025
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