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Coran, Bible, Torah : des textes sacrés… ou des manuels de haine ?

Illustration symbolique de trois livres : la Bible, le Coran, la Torah, posés sur une balance face à Mein Kampf.

Et si certains textes religieux étaient plus violents et dangereux que Mein Kampf ?

La phrase choque. Elle dérange. Mais elle mérite qu’on s’y attarde. Parce qu’au fond, ce n’est pas faux : les textes dits sacrés — qu’ils soient musulmans, chrétiens ou juifs — contiennent des passages d’une violence extrême que personne n’oserait aujourd’hui écrire sans se faire censurer ou poursuivre.

La violence au cœur des religions

  • Dans la Bible, on trouve des appels au génocide, à l’esclavage, à la lapidation des femmes.
  • Dans la Torah, c’est pareil : des règles archaïques sur la sexualité, le meurtre, la domination.
  • Dans le Coran, des versets appellent clairement à la violence contre les « infidèles », la soumission des femmes et la sanction des comportements « déviants ».

Et pourtant, ces textes sont encore vénérés, sanctuarisés, enseignés aux enfants, défendus avec passion.

Mein Kampf, l’interdit absolu

À côté de cela, Mein Kampf d’Hitler est interdit, ou réservé à des usages universitaires ultra encadrés. Parce que ce livre a nourri une idéologie qui a mené à la mort de millions d’êtres humains.

Mais posez-vous la question :

  • Combien de millions de morts les religions monothéistes ont-elles causés depuis 2000 ans ?
  • Croisades, djihads, inquisitions, massacres, terrorismes…

Pourquoi l’un serait intolérable et l’autre intouchable ?

Deux poids, deux mesures ?

La réalité est simple :

  • Quand une idéologie politique appelle à la haine = c’est un crime.
  • Quand une idéologie religieuse le fait = c’est « sacré ».

Mais au final, les deux ont les mêmes conséquences :

  • Des guerres.
  • Des morts.
  • Des divisions.

Le piège de l’interprétation

Évidemment, les religieux répondront :

« Il faut replacer ces textes dans leur contexte, ce sont des métaphores, des symboles. »

Mais c’est précisément ce que disent aussi ceux qui cherchent à minimiser Mein Kampf. Alors ?

La vérité, c’est que ce ne sont pas les textes qui tuent : ce sont ceux qui y croient à la lettre. Et tant qu’on continuera à protéger certains écrits sous prétexte qu’ils sont « sacrés », on continuera à voir des fanatiques les utiliser pour justifier l’injustifiable.

Faut-il interdire ces textes ?

Poser la question, c’est déjà se mettre en danger dans notre société ultra frileuse face aux religions. Mais c’est une question légitime :

  • Si on interdit Mein Kampf, pourquoi ne pas interdire aussi les passages les plus violents des livres religieux ?
  • Si on veut une société pacifiée, il faudra un jour oser regarder ces textes en face.

Croyances et Religions
Manipulation, Religions