Islamo-nazi-gauchiste : il faut un cordon sanitaire à l’extrême gauche

Le PTB s’allie à LFI et s’enfonce dans une radicalité inquiétante. Faut-il appliquer un cordon sanitaire à l’extrême gauche comme on le fait avec l’extrême droite ? Analyse des dérives et des risques pour la démocratie.

Depuis plus de 30 ans, la Belgique applique un cordon sanitaire strict contre l’extrême droite.
Résultat : impossible pour un Vlaams Belang de participer à une coalition, quel que soit son score électoral.
Mais pendant qu’on brandissait l’épouvantail fasciste à chaque élection, on a fermé les yeux sur un autre danger : la montée d’une extrême gauche radicale, populiste, et tout aussi antisystème.

Aujourd’hui, le PTB ne se cache même plus : il s’affiche ouvertement aux côtés de La France Insoumise, le parti de Jean-Luc Mélenchon, tristement célèbre pour ses dérives islamo-gauchistes, sa complaisance envers l’antisémitisme et ses attaques incessantes contre les institutions démocratiques.
Question simple : si on isole l’extrême droite, pourquoi pas l’extrême gauche ?

PTB + LFI : une alliance qui inquiète

Les deux partis partagent bien plus qu’un programme social :

• Discours populistes et manichéens : les riches et l’Occident sont coupables de tout.
• Proximité avec des mouvements islamistes et refus de condamner clairement le Hamas.
• Narratif victimaire : toute critique est qualifiée de “raciste”, “fasciste” ou “islamophobe”.
• Attaques frontales contre Israël, jusqu’à employer les termes de “génocide” sans nuance.

Cette convergence ne relève pas du hasard. C’est une stratégie politique assumée : fédérer les colères, attiser les divisions, et imposer une vision radicale par la surenchère verbale.

Quand la gauche flirte avec l’autoritarisme

Le PTB, comme LFI, se présente comme “la voix du peuple”.
Mais derrière ce slogan séduisant se cache une intolérance totale au débat contradictoire :

• Refus de toute coalition ou compromis parlementaire.
• Discours insinuant que la démocratie représentative est corrompue et illégitime.
• Justification implicite de violences au nom de “l’urgence sociale” ou “la cause palestinienne”.

En d’autres termes : la même logique que l’extrême droite… mais avec un keffieh et un poing levé.

Pourquoi un cordon sanitaire devient nécessaire

Si le cordon sanitaire se justifie contre ceux qui menacent la démocratie, il doit s’appliquer symétriquement.
Sinon, ce n’est plus un outil démocratique, mais un instrument idéologique.

Le PTB répond à tous les critères :

• Antisystème assumé.
• Rejet des règles du jeu parlementaire.
• Discours qui divise et stigmatise.
• Ambiguïtés sur la violence politique et la radicalisation islamiste.

Continuer à les traiter comme une “gauche respectable” uniquement parce qu’ils sont à gauche, c’est fermer les yeux sur une dérive grave.

Conclusion : Deux poids, deux mesures ?

On a longtemps dit :

“Plus jamais ça” à l’extrême droite.

Mais la vérité, c’est que le fascisme peut aussi venir de gauche.
Pas avec des bottes et des chemises brunes… mais avec des banderoles, des slogans “humanistes” et des alliances douteuses.

Si on veut protéger la démocratie, il faut être cohérent :
Un cordon sanitaire contre toutes les extrêmes, pas seulement celles qui nous arrangent politiquement.

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