France & Belgique 2025-2031 : chronique d’un effondrement annoncé
Fiction dystopique : entre faillite économique et islamisation politique, la France et la Belgique s’effondrent de 2025 à 2031. De l’ULB à Molenbeek, églises brûlées, guerre civile et sécession marquent la fin de l’Europe de l’Ouest.

Le 9 septembre 2025, le gouvernement Bayrou s’effondre. Sans majorité ni budget, la France plonge dans une paralysie institutionnelle. Le lendemain, le collectif « Tout bloquer » paralyse le pays avec des grèves massives dans la santé, les transports et l’éducation. Manifestations violentes, blocages routiers, économie en ruine : la République vacille.
Rima Hassan au gouvernement : la fin de la laïcité
En 2027, Jean-Luc Mélenchon est élu président avec 55 % des voix. Dans son gouvernement, il nomme Rima Hassan ministre de la Justice.
Dès son arrivée, elle impose des réformes radicales :
- Suppression des fêtes chrétiennes (Noël, Pâques, Toussaint) remplacées par des jours fériés islamiques (Aïd al-Fitr, Aïd al-Adha, Ramadan).
- Autorisation des signes religieux islamique dans toutes les institutions publiques.
- Financement massif d’écoles coraniques.
- Assouplissement des poursuites contre les prêcheurs radicaux.
Très vite, les églises se vident, puis sont attaquées et brûlées dans plusieurs grandes villes. La fracture identitaire devient abyssale.
Le naufrage économique
Dans le même temps, la fuite des capitaux et la délocalisation des multinationales plongent la France en récession. Le chômage dépasse 5 millions de personnes. En 2030, l’État fait défaut : hyperinflation, rationnements alimentaires et médicaux, FMI imposant privatisations et TVA à 25 %.
Belgique : l’ULB et Molenbeek comme déclencheurs
En Belgique, la contagion idéologique suit deux axes.
- L’Université libre de Bruxelles (ULB) : la promotion 2024-2025, baptisée « Promotion Rima Hassan », devient le symbole d’une génération islamo-marxiste. Les campus se transforment en foyers d’agitation où drapeaux rouges et drapeaux islamiques se mêlent.
- Molenbeek : l’échevine Saliha Raiss déclare publiquement :
« Ceux qui ne supportent pas le voile n’ont qu’à dégager. »
Cette phrase marque les esprits : Molenbeek est désormais considéré comme une terre d’islam. Le message est clair : les Belges réticents seront poussés dehors.
Expansion de l’islamisation
À partir de Molenbeek, le phénomène s’étend à toute la Belgique :
- À Bruxelles, les cortèges réclament la fin des fêtes chrétiennes et leur remplacement par des fêtes islamiques.
- En Wallonie, le PTB et les islamo-gauchistes appellent à soutenir la « France révolutionnaire ».
- En Flandre, la colère explose : les nationalistes dénoncent une « capitulation » et accélèrent la sécession.
Des églises sont incendiées à Bruxelles, Liège et Charleroi. Dans plusieurs quartiers, des tribunaux communautaires inspirés de la charia apparaissent.
Guerre civile généralisée (2031)
En France, la guerre civile éclate : antifas, milices d’extrême droite, syndicats radicaux, autonomistes corses et bretons, bandes armées issues de l’immigration. Paris est quadrillée par des barricades, Marseille devient un hub de contrebande, les campagnes entrent en sécession.
En Belgique, Bruxelles et Anvers deviennent des champs de bataille, tandis que la Flandre proclame son indépendance. Les autorités wallonnes, paralysées par l’influence islamo-gauchiste, perdent tout contrôle.
La fin de l’Europe de l’Ouest
En quelques mois, des dizaines de milliers de morts. France et Belgique s’effondrent ensemble, emportées par la faillite économique et la fracture identitaire.
L’ONU prépare une intervention militaire, avec casques bleus, pour instaurer une zone de stabilisation transfrontalière englobant Paris, Bruxelles et Anvers.
La République française et le Royaume belge cessent d’exister tels que nous les connaissions.

Le 2 septembre 2025
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