Pourquoi les islamo-gauchistes ne savent-ils pas écrire une phrase sans insultes ni fautes d’orthographe ?

On pourrait en rire si ce n’était pas aussi affligeant.
Tu poses une question simple, tu donnes ton avis calmement… et tu reçois un flot d’insultes en majuscules, avec trois fautes par mot.
Bienvenue dans le merveilleux monde de la bien-pensance 2.0, version analphabète.
L’orthographe ? Un luxe de privilégié.
Quand on vient de milieux défavorisés, qu’on a décroché de l’école à 14 ans et qu’on s’indigne à coups de vidéos TikTok mal montées… il ne faut pas s’attendre à des dissertations dignes de Voltaire. Mais attention : ce n’est pas une excuse. L’ignorance revendiquée n’est pas une forme de légitimité.
L’insulte comme unique argument.
“Sale facho !” – Fin de la discussion.
Pas besoin de lire ton message, pas besoin de comprendre ton propos : t’es « pas du bon côté », donc tu mérites la lapidation numérique.
Ils confondent débat d’idées et règlement de comptes tribal. Leur slogan implicite : « Si tu ne penses pas comme moi, tu es une merde. »
Le militantisme fast-food.
Tout doit être instantané : une cause à défendre, une indignation à crier, un ennemi à insulter. Pas le temps de réfléchir, encore moins de relire.
Et surtout : plus c’est violent, plus ça buzze.
C’est la règle des réseaux sociaux : si tu veux qu’on t’écoute, gueule fort (et oublie le Bescherelle).
Conclusion :
On peut défendre les plus faibles, les opprimés, les causes nobles… sans pour autant massacrer la langue française ni insulter la moitié de la planète.
Mais pour ça, il faut savoir penser. Et ça, malheureusement, ce n’est pas donné à tout le monde.
Pauvreté et Inégalités, Société
Discrimination, Manipulation, Politiques