Islamo-nazi-gauchiste : l’héritage nauséabond de la gauche dévoyée
Quand l’extrême gauche reprend les codes de l’extrême droite, entre clientélisme islamiste, wokisme radical et haine d’Israël. Une plongée dans la dérive idéologique d’une gauche qui a trahi ses principes.

L’extrême gauche d’hier n’est plus celle d’aujourd’hui. Autrefois porteuse de valeurs progressistes, sociales et laïques, elle s’est peu à peu transformée en une caricature d’elle-même. Ce qui fut un courant d’idées orienté vers l’émancipation des peuples est devenu le relais d’une haine masquée, d’un révisionnisme moral et d’un clientélisme communautaire destructeur. Là où l’extrême droite d’hier a été démontée et traquée, l’extrême gauche actuelle adopte insidieusement ses codes, en les maquillant sous le prétexte de la défense des opprimés.
L’antisionisme devenu paravent d’un nouvel antisméitisme
On le sait, toute critique d’Israël n’est pas antisémite. Mais le glissement est bien réel : des slogans brandis en manifestation aux prìhes dans certains quartiers, on passe sans transition de « Vive la Palestine » à « Mort aux Juifs« . Des personnalités comme Jean-Luc Mélenchon, qui se disent républicaines, n’hésitent plus à frayer avec des discours ambigus, à frôler l’indécence morale pour récolter des voix. Le PTB en Belgique n’est pas en reste : silence sur l’antisméitisme islamiste, défense acharnée d’un antisionisme à géométrie variable.
La complaisance envers l’islamisme politique
Ce n’est plus un secret : une partie de la gauche radicale ferme les yeux sur l’avancée de l’islam politique. Par calcul électoral ? Par idéologie dévoyée ? Le fait est que la laïcité, autrefois sanctuaire de la gauche, est devenue un mot tabou. On soutient les femmes voilées, on légitime les revendications communautaires, on excuse les prêches radicaux. En fait, la gauche radicale est devenue le cheval de Troie de l’islam politique en Europe.
La haine de la réussite : nouveau moteur de la lutte des classes
Autre dérive, tout aussi toxique : la criminalisation de la réussite. Quiconque travaille, gagne de l’argent ou construit quelque chose est suspect. L’entrepreneur devient exploiteur, le médecin devient complice du système, le fonctionnaire est déjà trop privilégié. Le message : être pauvre, musulman et en colère, c’est noble. Vouloir s’élever, à titre personnel ou national, c’est être complice du système capitaliste et oppressif.
Les slogans de la honte, version 2025
À force de jouer avec le feu, la gauche radicale reprend les slogans de ceux qu’elle dit combattre. Les manifestations pro-palestiniennes virent au défilé antisémite. Les appels au boycott deviennent des injonctions à la haine. Les pancartes sont parfois des copier-coller de tracts de la propagande nazie : « les médias sont aux mains d’un lobby », « l’argent est juif », « Israël = Nazis » … La boucle est bouclée.
Conclusion : une gauche dévoyée, un avenir en péril
Ce qui devait être un contre-pouvoir à la brutalité du système est devenu une machine à stigmatiser, à exclure, à détruire. L’islamo-nazi-gauchiste n’est pas une provocation rhétorique, c’est une réalité insidieuse. L’extrême gauche moderne ne défend plus l’ouvrier, elle soutient le radical, le victimiste, celui qui refuse toute responsabilité. La fracture est là, devant nos yeux, et le plus grave, c’est que beaucoup préfèrent ne pas la voir.

Le 7 août 2025
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