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Comprendre le monde… faute de pouvoir le changer !

LGBT, islamo-gauchisme et schizophrénie politique : quand la cause devient absurde

Il faut être sérieusement déconnecté pour clamer haut et fort « Free Palestine » tout en agitant son drapeau arc-en-ciel et en miaulant son genre du jour. Parce qu’il faut le rappeler : en Iran, l’homosexualité est passible de mort. Oui, de mort. Et pas symbolique : pendaison, lapidation, torture, exécution publique… des faits documentés, pas des fantasmes d’extrême droite.

À Gaza ? Ce n’est guère mieux. On ne compte plus les témoignages de jeunes gays palestiniens fuyant vers Israël pour ne pas se faire lyncher par leurs propres familles ou emprisonner par le Hamas. Et pourtant, une partie de la « gauche progressiste » continue à faire le grand écart en soutenant les oppresseurs au nom de l’antisionisme. Comprenne qui pourra.

Quand l’intersectionnalité devient une machine à laver le cerveau

Tout est parti d’un bon sentiment : unir les luttes. Mais à force de vouloir tout mélanger – féminisme, antiracisme, transidentité, lutte contre l’islamophobie – on a obtenu une bouillie idéologique sans queue ni tête. Ou plutôt avec une queue de chat, pour certain·es.

Résultat ? Des militant·es LGBT défilent avec des keffiehs autour du cou et des pancartes “Love Gaza” sans même savoir que là-bas, une simple relation homosexuelle vaut l’exil ou le cimetière. C’est devenu un concours de victimisation où le bon sens est remplacé par la posture.

Des identités qui défient la gravité (et la médecine)

Que chacun·e vive sa vie comme il ou elle l’entend, soit. Mais à un moment, il faut arrêter de prendre les gens pour des cons. Quand une personne affirme sérieusement qu’elle est un chat non-binaire trans-réincarné, on n’est plus dans la tolérance, on est dans l’asile psychiatrique sans camisole.

Et après, ces mêmes personnes s’étonnent de ne pas trouver de boulot.

La réalité n’est pas une safe zone

Pendant que certains se battent pour imposer les pronoms « iel/Ellui/illes », des femmes se font lapider pour adultère, des gays se font pendre à des grues, et des trans sont jeté·es du haut d’immeubles. Mais bon, sur Twitter, le vrai scandale, c’est de mal genrer un influenceur qui se prend pour une peluche Pokémon.

Pire encore, dans nos banlieues européennes, ceux qui agressent les LGBT sont souvent… ceux que les militants “inclusifs” défendent à corps perdu. Le déni est total. L’ennemi, c’est le vieux blanc cisgenre catho. Jamais le frère en djellaba qui crie “haram” avant de casser une mâchoire.

Conclusion : arrêtez de lécher la main qui vous gifle

Soutenir des régimes ou des mouvements qui veulent votre mort n’a rien de noble. C’est du masochisme politique.
On peut être gay, lesbienne, trans, queer… et garder un cerveau fonctionnel.
On peut dénoncer l’extrême droite sans tomber dans l’apologie d’idéologies encore plus rétrogrades.

La liberté, ce n’est pas le droit de se prendre pour un chat et d’excuser les bourreaux au nom de la diversité.
C’est de pouvoir exister sans se faire décapiter à cause de qui l’on aime.

Alors, un peu de cohérence : tu veux militer pour la Palestine ? Très bien. Mais n’oublie pas de planquer ton drapeau arc-en-ciel. Sinon, c’est pas une Pride, c’est ton enterrement.

Racisme et Discriminations, Société
Manipulation, Réseaux sociaux