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Comprendre le monde… faute de pouvoir le changer !

Poutine, Orban, Meloni : le retour du bon sens ou la fin de l’Europe molle ?

Poutine, Orbán et Meloni observant une Europe affaiblie, symbolisée par des ruines et des symboles woke. Illustration critique de la résistance conservatrice face au déclin occidental.

Et si les “méchants” de l’Est n’étaient pas ceux qu’on croit ?

À force de dénoncer l’“illibéralisme” de Viktor Orbán, l’autoritarisme de Vladimir Poutine ou le conservatisme assumé de Giorgia Meloni, les élites occidentales ont oublié une chose : ces dirigeants ne se battent pas contre la démocratie. Ils se battent contre la décadence.

Pendant que l’Ouest s’effondre…

En Europe de l’Ouest, on célèbre la diversité jusqu’à l’absurde, on enseigne le genre avant la grammaire, et on infantilise une société rongée par la repentance. Le “progrès” est devenu une religion, avec ses dogmes woke, son clergé militant et ses nouvelles inquisitions numériques.

Pendant ce temps :

  • La Hongrie préserve sa culture, sa démographie, sa souveraineté.
  • La Pologne défend ses racines chrétiennes et son modèle social conservateur.
  • L’Italie, avec Meloni, remet de l’ordre dans la maison sans renier l’Europe.
  • Et la Russie, que cela plaise ou non, rejette frontalement le modèle sociétal occidental.

Poutine : le paria utile

Oui, Poutine est un autocrate. Mais il incarne aussi, pour une partie du monde, le refus de l’Occident décadent : celui qui confond tolérance et soumission, liberté et effacement, inclusion et destruction des repères.

Dans ses discours, il ne parle pas aux Européens : il parle aux peuples qui ne veulent pas mourir culturellement. Et ça, beaucoup en Europe — surtout à l’Est — l’ont compris.

Orbán : l’homme à abattre… parce qu’il résiste

En refusant l’immigration massive, en défendant la famille traditionnelle, en affirmant que l’école n’est pas un lieu de propagande LGBT, Orbán est devenu la bête noire de Bruxelles. Mais aussi le modèle à suivre pour ceux qui en ont marre de se taire.

Meloni : conservatrice, donc suspecte

Élue démocratiquement, Giorgia Meloni reste surveillée comme une bombe à retardement… uniquement parce qu’elle assume :

  • Sa foi chrétienne,
  • Son opposition au chaos migratoire,
  • Sa volonté de réconcilier nation et Europe.

En somme : du bon sens, mais comme c’est une femme de droite, c’est forcément dangereux.

L’Europe molle va-t-elle s’effondrer ?

Ce n’est pas la Hongrie, la Pologne ou la Russie qui menacent l’Europe. C’est l’Europe elle-même, dans son incapacité à :

  • Défendre ses frontières,
  • Protéger ses enfants,
  • Affirmer ses valeurs,
  • Dire non quand il le faut.

Les peuples ne demandent pas la guerre. Ils demandent la clarté, l’autorité, la stabilité. Si l’Europe molle continue à s’enfoncer dans l’autoflagellation, elle sera balayée. Pas par la force militaire, mais par le vide intérieur.

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