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Comprendre le monde… faute de pouvoir le changer !

Ce ne sont pas des prisons qu’il faut construire, mais des hôpitaux psychiatriques

Couloir d’hôpital psychiatrique avec symboles religieux et figures errantes.

Abraham : le premier illuminé de l’Histoire

Tout commence avec Abraham (ou Ibrahim, selon les versions). Un beau matin, le gars entend une voix dans sa tête :

« Tue ton fils. C’est Dieu. Je te le demande. »

Et lui, au lieu de se dire : « Tiens, j’ai peut-être besoin d’un médecin », il prend un couteau et se prépare à égorger son propre enfant.

Dans notre monde moderne, ce genre de comportement déclenche illico :

  • Une hospitalisation en psychiatrie.
  • Un diagnostic de psychose délirante ou de schizophrénie mystique.

Mais dans les textes religieux, ce délire est devenu un acte de foi. Pire : c’est le fondement d’une des plus grandes fêtes musulmanes, l’Aïd al-Adha, où des millions de moutons se font trancher la gorge pour commémorer… ce qui était à la base un épisode de folie hallucinatoire.

Les Croisades : la boucherie made in Jésus

Avançons un peu dans le temps. Les Européens médiévaux se lancent dans les Croisades :

« Allons libérer Jérusalem des infidèles au nom de Jésus, prince de la paix ! »

Résultat :

  • Massacres en masse.
  • Villes rasées.
  • Femmes, enfants, vieillards égorgés… toujours au nom de l’amour du Christ.

Le pire ? Jésus, celui qu’ils prétendaient défendre, prêchait l’amour, le pardon, la paix. Mais bon… l’Église avait visiblement sauté les pages qui parlaient de ça.

Et pour ne pas être en reste, il y a eu aussi la Croisade des Albigeois contre les Cathares (XIIIe siècle).
Les Cathares ? Un groupe de chrétiens pacifistes, végétariens, ascétiques…
Réponse de l’Église :

« Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens. »

Des dizaines de milliers de morts. Un génocide religieux qui, encore aujourd’hui, reste un exemple parfait de fanatisme psychiatrique collectif.

Les Djihads : la guerre sainte version islam

De l’autre côté, ce n’est pas mieux. Le concept de jihad (au départ spirituel) est très vite devenu une guerre sainte sanglante.

  • Conquêtes massives sous prétexte de propager la « vraie foi ».
  • Conversions forcées ou impôts pour les infidèles.
  • Massacres, pillages, terreur.

Et aujourd’hui encore, certains tarés se font exploser au nom de Dieu, persuadés d’avoir un ticket express pour le paradis avec 72 vierges à la clé.

Là aussi, c’est le délire religieux poussé à l’extrême qui tue, pas une quelconque mission divine.

Inquisitions, bûchers et sorcières : la psychiatrie version médiévale

Le christianisme, jamais à court de violence, a aussi inventé l’Inquisition :

  • Tortures raffinées.
  • Bûchers publics.
  • Chasses aux sorcières.

Le simple fait d’être une femme un peu trop indépendante pouvait te valoir d’être brûlée vive pour « pacte avec le diable ».

Aujourd’hui, c’est un comportement qu’on associerait à une psychose collective ou à un délire paranoïaque massif. À l’époque, c’était juste la « justice divine ».

Massacres religieux tous azimuts : y’en a pour tout le monde

Aucune religion n’est épargnée par la folie :

  • Les Aztèques sacrifiaient des humains pour nourrir le soleil.
  • Les Hindous et les Sikhs s’entretuaient dans des émeutes communautaires.
  • Les extrémistes juifs justifient des violences au nom des textes de l’Ancien Testament.
  • Même des moines bouddhistes ont mené des pogroms sanglants au Myanmar.

Partout où il y a des croyances figées, il y a eu des bains de sang.
Le point commun ? Des textes sacrés vieux de plusieurs siècles, pris au pied de la lettre par des cerveaux fragiles.

Ils étaient sous influence ? Drogue, solitude, folie ?

Sérieusement, il faut se poser la question :

  • Abraham qui entend des voix ?
  • Mahomet qui voit un ange dans une grotte ?
  • Moïse qui parle à un buisson en feu ?
  • Jean de l’Apocalypse qui décrit des visions délirantes ?

Ça ressemble furieusement à des crises hallucinatoires provoquées par :

  • Des plantes hallucinogènes.
  • Des jeûnes extrêmes ou des privations sensorielles.
  • Des troubles mentaux.

Mais à l’époque, pas de psy, pas de neurologue : donc tout était automatiquement « Dieu ».

Conclusion : Moins de prisons, plus de soins psychiatriques

Toutes ces histoires — qu’elles soient bibliques, coraniques, védiques ou autre — sont aujourd’hui racontées aux enfants comme des modèles. Mais soyons clairs :
Ce sont des récits de psychopathes, de fanatiques, ou au mieux de pauvres gens qui auraient eu besoin d’aide psychiatrique.

La foi, ce n’est pas le problème.
Le problème, c’est la littéralisation débile, l’endoctrinement, la glorification de textes barbares et de comportements qui relèvent plus de la psychiatrie que de la spiritualité.

Ce ne sont pas des prisons qu’il faut construire.
C’est des hôpitaux psychiatriques, pour soigner les esprits malades avant qu’ils ne deviennent meurtriers au nom d’un « Dieu » qu’ils ne comprennent même pas.

Croyances et Religions
Manipulation, Religions